» Catégorie : petite douceur du coeur
LA VIE
Commentaires » 1La jeunesse n’est pas une période de la vie.
Elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l’imagination, une intensité émotive.
Une victoire du courage sur la timidité, du goût
de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un
certain nombre d’années : on devient vieux parce
qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal
ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et
les désespoirs sont les ennemis qui, lentement,
nous font pencher vers la terre et devenir poussière
avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille.
Il demande comme l’enfant insatiable : Et après ?
Il défie les événements et trouve de la joie au jeu
de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux
que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que
votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.
Réceptif aux messages de la nature, de l’homme
et de l’infini.
Si un jour, votre coeur allait être mordu par le
pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu
avoir pitié de votre âme de vieillard.
« Ce texte a été retrouvé dans les affaires d’une
vieille dame Irlandaise après sa mort. »
page Facebook :
« Lutte pour la Bientraitance en Institution et à Domicile »
« J’aime »
Commentaires » 0« J’aime partout où la vie m’emmène
J’aime le vent, la vie qui m’entraîne
Même si parfois je me pose des questions
Même si je dois me remettre en question
Naître, fut sans doute un grand jour pour moi
Mais moins, que le jour ou j’ai compris pourquoi
Je me demandais ce que je ferais maintenant
Chaque jour, j’avais mon lot de questionnements
Le temps allait vite, mais pas encore assez
Je voulais tout faire dans une même journée
J’étais rempli de grands projets, de désirs
Ce qui comptait était le présent, jamais l’avenir
Un jour pourtant il m’a fallu changer
Dans la vie, on ne peut pas toujours tout décider
La vie ne nous emmène pas toujours ou l’on veut
On se dit parfois, j’aurais pu faire mieux
L’important, est de penser à ce qui va bien
Y’a du bon, et du mauvais sur tous les chemins
La vie oui, nous emmène là ou elle veut
C’est à nous de la conduire de notre mieux
Vivre pour chacun de nous c’est pas pareil
Il nous appartient de trouver l’essentiel »
Claude Marcel Breault
Proverbes d’ici et maintenant a partagé une photo
de je veux écrire l’histoire de ma vie.
« Le jour où je me suis aimé pour de vrai »
Commentaires » 0

j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle…


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…

j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte
Aujourd’hui, j’ai découvert …


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent,
là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle…


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon coeur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est…
Du chaos naissent les étoiles.
Auteur :
Ce texte a été attribué à tort à Charlie Chaplin,
Theracoach-forum.com.
L’Histoire de ma vie
Commentaires » 0L’Histoire de ma vie,
c’est mon miroir qui me la montre,
mon expérience qui me l’enseigne,
mon cœur qui la rend belle et délicate,
quel que soit mon âge, le temps,
elle a construit qui je suis aujourd’hui.
Des souffrances, des pleurs, des rires, des joies,
tout ça c’est l’histoire de ma vie, celle que j’accueille
dans la plus grande humilité et acceptation, de la magie
et de passage de la vie à travers le temps,
à travers toutes mes émotions, à travers les années
qui impriment son empreinte sur ma peau,
au plus profond de mon cœur
ou réside cette source de lumière
qu’on appelle l’Amour.
Merci la Vie de me visiter un jour de plus.
Auteur : Christine Gonzalez / Theracoach
Page Cheminer vers l’Amour
L’amour
Commentaires » 1Quand l’amour s’en va, l’espoir fuit.
L’amour, c’est le cri de l’aurore,
L’amour c’est l’hymne de la nuit.
Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l’astre dit aux nuages,
C’est le mot ineffable : Aimons !
L’amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c’est le bonheur !
Victor Hugo
douceur du coeur….
Commentaires » 0Cœur brisé
Cœur froissé
Tout recousu
Tout biscornu
Cœur insouciant
Cœur d’enfant
Qui a fait craque
Qui a le traque
Cœur épuisé
De trop aimer
Cœur envahit
Mélancolie
Cœur à l’ouvrage
Douce missive
Cœur en naufrage
À la dérive
Que reste-t-il
Des souvenirs
Des cicatrices
Et de l’amour.
LA VIE
Commentaires » 2LA VIE
La jeunesse n’est pas une période de la vie,
elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l’imagination, une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années :
on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande
comme l’enfant insatiable : Et après ? Il défie les événements
et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages
de la nature, de l’homme et de l’infini.
Si un jour, votre coeur allait être mordu par le pessimisme
et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.
« Ce texte a été retrouvé dans les affaires d’une vieille dame Irlandaise après sa mort. »
Larmes de femme
Commentaires » 2Un petit garçon demanda à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répondit-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.
Sa mère le prit dans ses bras et lui dit :
- Et jamais tu ne comprendras.
Plus tard le petit garçon demanda à son père :
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?
Et Dieu répondit :
- Quand j’ai fait la femme, elle devait être spéciale.
J’ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ;
et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie,
et celle d’accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.
« Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne,
et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d’un amour inconditionnel,
même quand ces derniers l’ont blessée durement.
« Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts
et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
« Tu vois mon fils, la beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte,
ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.
La beauté d’une femme réside dans ses yeux.
car c’est la porte d’entrée de son coeur – le lieu où réside l’amour.
Et c’est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.
« Toutes les femmes sont belles,
et nous devons les encourager à s’aimer telles qu’elles sont
et à avoir une juste estime d’elles-mêmes. »
prendre un ancien par la main
Commentaires » 0La Tendresse
Commentaires » 1
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l’histoire
Et s’en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n’en est pas question
Non, non, non, non
Il n’en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s’il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien… on s’y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l’amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L’amour ne serait rien
Non, non, non, non
L’amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n’est plus qu’un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D’un coeur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n’irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu’on le rend heureux
Tous nos chagrins s’effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu…
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos coeurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l’amour
Règne l’amour
Jusqu’à la fin des jours