« J’aime »
« J’aime partout où la vie m’emmène
J’aime le vent, la vie qui m’entraîne
Même si parfois je me pose des questions
Même si je dois me remettre en question
Naître, fut sans doute un grand jour pour moi
Mais moins, que le jour ou j’ai compris pourquoi
Je me demandais ce que je ferais maintenant
Chaque jour, j’avais mon lot de questionnements
Le temps allait vite, mais pas encore assez
Je voulais tout faire dans une même journée
J’étais rempli de grands projets, de désirs
Ce qui comptait était le présent, jamais l’avenir
Un jour pourtant il m’a fallu changer
Dans la vie, on ne peut pas toujours tout décider
La vie ne nous emmène pas toujours ou l’on veut
On se dit parfois, j’aurais pu faire mieux
L’important, est de penser à ce qui va bien
Y’a du bon, et du mauvais sur tous les chemins
La vie oui, nous emmène là ou elle veut
C’est à nous de la conduire de notre mieux
Vivre pour chacun de nous c’est pas pareil
Il nous appartient de trouver l’essentiel »
Claude Marcel Breault
Proverbes d’ici et maintenant a partagé une photo
de je veux écrire l’histoire de ma vie.
Il y a parfois entre deux personnes
Parfois, une personne a le don de changer notre vie quand elle nous apparaît.
Elle arrive par hasard, et chamboule tout.
Elle chasse nos démons et semble nous sauver d’une vie
dont on se sentait prisonnier, ou tout simplement pas à sa place.
On gagne de l’assurance et confiance en nous.
Petit à petit on réapprend à vivre,
on réapprend certaines notions que l’on avait mis de côté il y a quelques années,
comme la confiance envers autrui, le sentiment de sécurité, la liberté, le bonheur.
On apprend à moins se méfier.
On accepte de s’ouvrir, de sortir de notre carapace
sous laquelle on avait pris refuge.
Contre toute attente, cette personne nous rend meilleure,
et on prend conscience que si cette personne venait à partir,
tout le chemin parcouru grâce à elle n’aurait servi à rien.
On rêve de grandes choses, de projets, d’une vie, auxquels on tient,
on a de nouveau des peurs, mais différentes de celles d’autre fois…
La peur de l’abandon, la peur de ne pas être assez bien,
la peur de ne plus être aimer un jour, la peur de la perdre un jour.
On se rend compte qu’en réalité, on a besoin d’elle chaque seconde
parce qu’on est perdu quand elle n’est plus là.
On perd nos repères, on doit se réhabituer au train-train quotidien,
à la vie que l’on a quand elle n’est pas à nos côtés.
En fait, cette personne rend nos jours plus beaux, nos rêves plus fous.
On devient plus ambitieux, on a envie de se battre pour elle,
de se battre pour notre avenir, nos idées, nos principes, parce qu’elle nous rend plus fort.
Pourtant, si elle est notre plus grande force,
on sait aussi qu’elle est notre plus grande faiblesse et que sans elle, on est plus rien.
Alors avant qu’il soit trop tard, que le temps nous dépasse et nous consume, il faut profiter.
Profiter du temps qui nous est accordé avec elle,
profiter de chaque instant, la chérir et donner sans rien demander en retour,
parce qu’en amour, donner est aussi bon que recevoir.
Et quand on a trouvé cette personne qui semble nous correspondre,
qui nous complète et nous comble, nous aime,
tout ce que l’on se doit de faire c’est apprécier nos moments,
continuer d’aimer, d’offrir et prendre soin d’elle
avant que le temps nous vole ce que l’on a de plus précieux …
MADE IN HUMANITY
a partagé une photo de LA TRANSHUMANCE DE L’ÊTRE.
(Auteur – Mallaury Billette)
* Un grand merci à Mallaury
pour l’autorisation de la publication de ce très beau texte.
Te rappelles-tu ?
Te rappelles-tu, étant petites
Quand on effeuillait des marguerites
C’était pourtant un jeu banal
Cette envie d’arracher leurs pétales
C’était pourtant bien amusant
On voulait connaître les sentiments
De celui que l’on avait remarqué
Qui était toujours dans nos pensée
Je t’aime un peu, beaucoup, passionnément
On recommençait si souvent
On voulait qu’il nous aime beaucoup
Et qu’il pense seulement à nous
Cette simple fleur était si jolie
Elle n’a jamais changé depuis
Si je ne suis plus petite
J’aime encore les marguerites
Leur beauté, c’est qu’il y en a beaucoup
On en voit partout autour de nous
Et moi, quand je repense à celles-ci
Je la trouvais si belle ma vie
Texte Claude Marcel Breault
JE SAIS, JE SAIS
(geraldgeronimi.com)
Quand j’étais gosse, haut comme trois pommes,
J’parlais bien fort pour être un homme
J’disais, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS, JE SAIS
C’était l’début, c’était l’printemps
Mais quand j’ai eu mes 18 ans
J’ai dit, JE SAIS, ça y est, cette fois JE SAIS
Et aujourd’hui, les jours où je m’retourne
J’regarde la terre où j’ai quand même fait les 100 pas
Et je n’sais toujours pas comment elle tourne !
Vers 25 ans, j’savais tout : l’amour, les roses, la vie, les sous
Tiens oui l’amour ! J’en avais fait tout le tour !
Et heureusement, comme les copains, j’avais pas mangé tout mon pain :
Au milieu de ma vie, j’ai encore appris.
C’que j’ai appris, ça tient en trois, quatre mots :
« Le jour où quelqu’un vous aime, il fait très beau,
j’peux pas mieux dire, il fait très beau !
C’est encore ce qui m’étonne dans la vie,
Moi qui suis à l’automne de ma vie
On oublie tant de soirs de tristesse
Mais jamais un matin de tendresse !
Toute ma jeunesse, j’ai voulu dire JE SAIS
Seulement, plus je cherchais, et puis moins j’ savais
Il y a 60 coups qui ont sonné à l’horloge
Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j’m'interroge ?
Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU’ON NE SAIT JAMAIS !
La vie, l’amour, l’argent, les amis et les roses
On ne sait jamais le bruit ni la couleur des choses
C’est tout c’que j’sais ! Mais ça, j’le SAIS… !
sur la page Facebook : Je n’oublierai jamais.
★ Just-JimmY ★
La vieille femme grincheuse
Les personnes âgées
ne sont pas correctement considérées dans notre société.
Alors qu’elles ont eu une vie bien plus longue que la nôtre,
vécu statistiquement plus d’évènements
plus heureux ou plus dramatiques que nous,
la société préfère les cataloguer comme étant des « vieux ».
Je trouve çà dramatique,
car ces personnes avant de penser qu’elles sont séniles,
doivent nous inspirer le respect, et la loyauté.

Une amie psychologue m’a fait part de ce texte,
dont elle garde une copie près de son bureau.
Il s’agirait d’un poème
retrouvé dans les affaires
d’une dame âgée, irlandaise, après son décès.
Je vous laisse en prendre connaissance
et me faire part de votre ressenti…
QUE VOIS-TU, TOI QUI ME SOIGNES,
QUE VOIS-TU ?
QUAND TU ME REGARDES,
QUE PENSES-TU ?
Une vieille femme grincheuse, un peu folle
Le regard perdu, qui n’y est plus tout à fait,
Qui bave quand elle mange et ne répond jamais,
Qui, quand tu dis d’une voix forte « essayez »
Semble ne prêter aucune attention à ce que tu fais
Et ne cesse de perdre ses chaussures et ses bas.
Qui docile ou non, te laisse faire à ta guise,
Le bain et les repas
pour occuper ta longue journée grise.
C’est ça que tu penses. c’est ça que tu vois?
Alors ouvre les yeux, ce n’est pas moi:
Je vais te dire qui je suis, assise là si tranquille
me déplaçant à ton ordre, mangeant quand tu veux:
Je suis la dernière de dix, avec un père et une mère,
Des frères et des soeurs qui s’aiment entre eux.
Une jeune fille de 16 ans, des ailes aux pieds,
Rêvant que bientôt, elle rencontrera un fiancé.
Mariée déjà à 20 ans. Mon coeur bondit de joie
Au souvenir des voeux que j’ai fait ce jour-là.
J’ai 25 ans maintenant et un enfant à moi
Qui a besoin de moi pour lui construire une maison.
Une femme de trente ans, mon enfant grandit vite,
Nous sommes liés l’un à l’autre par des liens qui dureront.
Quarante ans, bientôt il ne sera plus là.
Mais mon homme est à mes côtés qui veille sur moi.
Cinquante ans, à nouveau jouent autour de moi des bébés;
Me revoilà avec des enfants, moi et mon bien-aimé.
Voici les jours noirs, mon mari meurt.
Je regarde vers le futur en frémissant de peur.
Car mes enfants sont tous occupés à élever les leurs,
Et je pense aux années et à l’amour que j’ai connus.
Je suis vieille maintenant, et la nature est cruelle,
Qui s’amuse à faire passer la vieillesse pour folle,
.Mon corps s’en va, la grâce et la force m’abandonnent,
Et il a maintenant une pierre là où jadis j’eus un coeur.
Mais dans cette vieille carcasse, la jeune fille demeure
Dont le vieux coeur se gonfle sans relâche.
Je me souviens des joies, je me souviens des peines,
Et à nouveau je sens ma vie et j’aime.
Je repense aux années trop courtes et trop vite passées,
Et accepte cette réalité implacable que rien ne peut durer.
Alors ouvre les yeux, toi qui me soignes et regarde
Non la vieille femme grincheuse.
Regarde mieux, tu me verras !
http://www.fleurdementhe.com/chronique/la-vieille-femme-grincheuse/
La plus belle journée de ma vie
La plus belle journée de ma vie
Aujourd’hui quand je me suis réveillé, j’ai réalisé soudain
que c’était la plus belle journée de ma vie.
Je remercie la vie
de me réveiller vivant sur cette terre
et de me donner à nouveau 24 heures pour faire la fête.
Aujourd’hui, je vais célébrer la vie incroyable que j’ai eu jusqu’ici;
les révélations, les nombreuses bénédictions et, oui,
même les épreuves, parce qu’elles m’ont rendu plus fort.
Je vais vivre cette journée la tête haute et le cœur joyeux.
Je vais m’émerveiller devant les cadeaux de la vie, apparemment simples;
la rosée du matin, le soleil, les nuages, les arbres, les feuilles, les oiseaux.
Aujourd’hui, aucune de ces créations miraculeuses n’échappera à mon attention.
(http://emlo32.unblog.fr/page/3/)
Aujourd’hui, je vais partager
mon enthousiasme pour la vie avec d’autres personnes.
Je ferai sourire quelqu’un.
Je m’arrêterai en chemin pour accomplir un geste de bonté inattendue
envers une personne que je ne connais même pas.
Aujourd’hui, je ferai un compliment sincère
à quelqu’un qui a l’air déprimé.
Je dirai à un enfant combien il est spécial
et je dirai à une personne que j’aime
à quel point elle est importante pour moi.
Aujourd’hui, je vais arrêter de m’inquiéter de ce que je n’ai pas
et commencer à être reconnaissant
pour toutes les merveilleuses choses que Dieu m’a déjà données.
Je me souviendrai que m’inquiéter
n’est qu’une perte de temps,
car ma foi en Dieu m’assure que tout ira pour le mieux.
Et ce soir, avant d’aller me coucher,
je lèverai les yeux vers le ciel.
Je m’émerveillerai devant la beauté de la lune et des étoiles
et je serai reconnaissant pour ces magnifiques trésors.
Lorsque cette journée s’achèvera
et que je poserai ma tête sur mon oreiller,
je remercierai Dieu pour la plus belle journée de ma vie.
Je dormirai du sommeil d’un enfant heureux
impatient d’arriver au lendemain,
parce que je sais que demain
sera la plus belle journée de ma vie!
Que cette journée soit la plus belle de votre vie!
Que l’amour, la paix, la joie et la sagesse
débordent de votre cœur
et se déversent tout autour de vous!
Que la vie vous soit douce!
Dialogue de jumeaux dans le ventre de leur mère….













Bébé 1 :




Bébé 1 :




Mes Marguerites
Te rappelles-tu, étant petites
Quand on effeuillait des marguerites
C’était pourtant un jeu banal
Cette envie d’arracher leurs pétales
C’était pourtant bien amusant
On voulait connaître les sentiments
De celui qu’on avait remarqué
Qui était toujours dans nos pensées
Je t’aime un peu, beaucoup, passionnément
On recommençait si souvent
On voulait qu’il nous aime beaucoup
Et qu’il pense seulement à nous
Cette simple fleur était si jolie
Elle n’a jamais changé depuis
Si je ne suis plus petite
J’aime encore les marguerites
Leur beauté, c’est qu’il y en a beaucoup
On en voit partout autour de nous
Et moi, quand je repense à celles-ci
Je la trouvais si belle ma vie
Texte Claude Marcel Breault
ChezMayaCartes PostalesBulletins de nouvellesPuces pour le coeur
« Lutte pour la Bientraitance »
Je l’avoue
les visages de nos anciens, me touchent, me parlent.
Parfois il m’arrive de me transporter et être à l’intérieur d’eux.
Comment me direz vous ?
En me mettant à leur place, je laisse alors ma sensibilité
faire cet état des lieux ou constat chacun comprendra…
Je ressens alors, leur peine immense, leur peur.
J’entends toutes les questions qui fusent à l’intérieur d’elles,
les rendant parfois presque folle de jour comme de nuit.
Je sais, je comprends
que cette médication abusive est une aberration de ce système,
et nos anciens, nos grands-parents, nos parents sont dans cet engrenage,
dont on n’en sort pas indemne !
Je voyage, je ressens, j’observe, je comprends et j’ai mal….
Comment en tant qu’être humain
de la haute société, de la grande intelligence, des décisions,
oui comment peut -on continuer d’être insensible à cette cause ?
Changer leur vie… Oui c’est possible !
Parce qu’il faut parfois si peu de choses, accompagné d’autres choses….
Assise ou couché, abruti et délaissé voilà ce qu’est le lot de nos ainées
depuis bien trop d’année sans réel changement.
On cherche des idées, on travaille sur des sujets,
on fait des études scientifiques sur ce qui pourrait être bon d’apporter…
Que d’énergie et dépense inutile !!!
En sommes, du temps pour continuer de faire avaler la pilule !
Bien sûr les plus aisées se sentent protégé.
‘ Ils ont leur sécurité confort,
Mais tous n’aurons pas cette chance !
Et Cela risque de nous pendre au nez !
Je Lutte alors pour cette « Bientraitance en Institution »…
et compte sur votre soutien pour changer les choses…
Que le ciel entende nos prières,
pour que l’ont ne vivent pas ce que nos anciens vivent !
Pensons y , une petite visite sera souvent
le petit rayon de soleil de leur triste quotidien…
« Lutte pour la Bientraitance en Institution et à Domicile »
Texte de Linda Leininger Naturopathe – Sophrorelaxologue
L’amitié

Elle ne recherche aucune faveur en retour.
Elle élève celui qui la donne.
La véritable amitié est généreuse.
Elle est plus forte que tous les préjugés.
Elle anoblit celui qui la donne.

La véritable amitié est fidèle.
Elle n’est pas altérée par le temps.
Elle honore celui qui la donne.
La véritable amitié est tenace.
Elle est faite de loyauté et de franchise.
Elle grandit celui qui la donne.
La véritable amitié est magnanime.
Elle ne pose aucune condition.
Elle embellit celui qui la donne.
La véritable amitié est absolue.
Elle n’est jamais donnée par miettes.
Elle fait honneur à celui qui la donne.
La véritable amitié est spontanée.
Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage.
Elle récompense celui qui la donne.
La véritable amitié est sincère.
Elle ne pose pas de conditions.
Elle enrichit celui qui la donne.
Henri de Lacordaire, (1802-1861)
