l'avenir appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves

VIEILLIR EN BEAUTÉ

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VIEILLIR EN BEAUTÉ 

 Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son coeur;
Sans remord, sans regret, sans regarder l’heure;
Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur;
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur. 

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Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps;
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L’âge n’a rien à voir avec la mort. 

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Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.

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Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement.
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan.
Être fier d’avoir les cheveux blancs,
Car, pour être heureux, on a encore le temps.

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Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour;
Car, où que l’on soit, à l’aube du jour,
Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.

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Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir;
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point de non-recevoir,
Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir. 

 

auteur Ghyslaine Delisle

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28 mars, 2013 à 14 h 27 min | Commentaires (0) | Permalien


Lorsque tu ne me regardais pas.

Un message que tous les adultes devraient lire.

Les enfants
nous observent beaucoup sans que nous le réalisions !

Ils font ce qu’ils voient et non ce qu’on leur dit.

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 dans PAUSE TENDRESSE

Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu
accrocher au mur ma première peinture
et j’ai voulu immédiatement en
produire une deuxième…

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Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu
nourrir un chat perdu
et j’ai compris qu’il fallait être bon pour les
animaux…

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Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu préparer mon
gâteau préféré, pour moi,

alors j’ai compris que les petites choses sont

très importantes dans la vie…

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Lorsque tu ne me regardais pas,

je t’ai entendu prier

et j’ai compris qu’il y avait un Dieu
et que je  pouvais lui parler

et avoir confiance en Lui…

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Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu préparer un repas

et aller le porter à un ami qui était  malade
et j’ai compris qu’il faut s’entraider les uns les autres…

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Lorsque tu ne me regardais pas,
je t’ai vu donner du temps et de
l’argent à des gens nécessiteux
et j’ai compris, que, ceux qui le peuvent,
doivent aider ceux qui
sont dans le besoin…

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enfants

Lorsque tu ne me  regardais pas,
je t’ai vu nettoyer la maison

et voir aux besoins de chacun  de nous
et j’ai compris qu’il fallait respecter les autres

et prendre soin  de ce  qui leur appartient…

Lorsque tu ne me regardais pas,
je  t’ai vu prendre tes responsabilités au sérieux,
même quand tu ne te sentais  pas bien

 et j’ai compris ce que c’est  d’être un adulte responsable…

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Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai vu des larmes dans tes yeux

et j’ai compris qu’il y a des choses

qui nous font souffrir et que  l’on  peut pleurer…

Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai vu comment tu  nous aimais
et j’ai voulu devenir la meilleure personne

qu’il m’était  possible  d’être, comme toi…

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Lorsque tu ne me regardais pas,
j’ai  appris de toi toutes les leçons importantes de la vie
dont j’avais besoin
pour devenir une personne productive
en grandissant…

Lorsque tu ne  me regardais pas,
je te regardais et voulais te dire

MERCI POUR
TOUTES LES CHOSES QUE JE T’AI VU FAIRE
PENDANT QUE TU NE ME REGARDAIS PAS !

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J’envoie ce document

à toutes les personnes que je connais
qui font  tellement pour les autres

mais qui ne réalisent même pas

qu’il y a des  petits yeux

qui les observent constamment !
Chacun de nous

 parents,  grands-parents,

tantes, oncles, enseignants ou amis 

nous influençons la  vie d’un enfant.

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Comment vais-je toucher

La vie de quelqu’un  aujourd’hui? 

 Seulement en envoyant ce texte

à quelqu’un d’autre, 

 tu vas  certainement au moins

le ou la faire réfléchir sur son influence sur les  autres.

Prêcher par l’exemple………….Il s’agit d’y penser!

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14 mars, 2013 à 23 h 17 min | Commentaires (0) | Permalien


L’amour

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Quand l’amour s’en va, l’espoir fuit.
L’amour, c’est le cri de l’aurore,
L’amour c’est l’hymne de la nuit.

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Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l’astre dit aux nuages,
C’est le mot ineffable : Aimons !

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L’amour fait songer, vivre et croire.
Il a pour réchauffer le coeur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon c’est le bonheur !

Victor Hugo

voyage émotionnel

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12 mars, 2013 à 19 h 04 min | Commentaires (1) | Permalien


PETIT

PETIT dans poésie 762196290

Un enfant, avec un fusil trop grand
Un enfant, marche lentement, à pas hésitants
Au milieu du sang et du silence, et du silence

Un enfant, mais apparemment c’est plus un enfant
Depuis très longtemps, trop longtemps, trop longtemps

 

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Bientôt dix ans, t’as jamais joué au voleur
Au gendarme qui a peur, à l’insouciance
Petit, tu devrais regarder les filles
Et voir dans leurs yeux qui brillent des valses lentes
Tu vois dans leurs yeux des éclairs de feux
Béton déchiré par les barbelés
Et de temps en temps du cristal de sang
Quand vas-tu mourir ?

Un enfant, avec un fusil trop grand
Un enfant, mais apparemment c’est plus un enfant
Peut tuer comme un grand, comme à la guerre évidemment

 

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Bientôt dix ans, il y a des pays tranquilles
Et des jardins dans les villes, et de l’argent
Petit, tu sais pas jouer aux billes
Tu revends des balles en cuivre, pour le moment
Tu vis au milieu des éclairs de feux
Béton déchirés par le barbelés
Et de temps en temps du cristal de sang
Quand vas-tu mourir ?

Un enfant, un enfant trop vieux, un enfant trop dur
Un enfant bien évidemment peut tuer comme un grand
Et comme c’est la guerre, fait sa ronde, fait sa ronde

 

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Et dans dix ans, si jamais y a plus l’enfer
Si jamais y a plus le fer, le feu, le sang
Petit, tu raccrocheras ton fusil
Comme un cauchemar qu’on oublie, apparemment
Petit, tu joueras peut-être au voleur
Et les gendarmes auront peur de l’insolence
Petit, tu feras danser les filles
Pour voir dans leurs yeux qui brillent des valses lentes
Mais au fond des yeux, des éclairs de feux
Béton déchiré par les barbelés
Et de temps en temps du cristal de sang
Que vas-tu devenir ?…………

Bernard Lavilliers

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5 mars, 2013 à 11 h 57 min | Commentaires (0) | Permalien


douceur du coeur….

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Cœur brisé
Cœur froissé
Tout recousu
Tout biscornu 

 

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Cœur insouciant
Cœur d’enfant
Qui a fait craque
Qui a le traque

Cœur épuisé 
De trop aimer
Cœur envahit 
Mélancolie

 

psrj69dh

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Cœur à l’ouvrage
Douce missive
Cœur en naufrage
À la dérive

Que reste-t-il
Des souvenirs
Des cicatrices
Et de l’amour.

psrj69dh

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Lecouillard Alexandre

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2 mars, 2013 à 22 h 07 min | Commentaires (0) | Permalien


le chercheur de vérité

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MADE IN HUMANITY
2 mars, 2013 à 14 h 24 min | Commentaires (0) | Permalien


LA VIE

LA VIE dans petite douceur du coeur la-vie

LA VIE

La jeunesse n’est pas une période de la vie,
elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l’imagination, une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l’aventure sur l’amour du confort.

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On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années :
on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.

Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
et devenir poussière avant la mort.

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Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande
comme l’enfant insatiable : Et après ? Il défie les événements
et trouve de la joie au jeu de la vie.

Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.

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Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages
de la nature, de l’homme et de l’infini.

Si un jour, votre coeur allait être mordu par le pessimisme
et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

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« Ce texte a été retrouvé dans les affaires d’une vieille dame Irlandaise après sa mort. »

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28 février, 2013 à 19 h 50 min | Commentaires (2) | Permalien


Porter la vie !!!

Porter la vie !!! dans PAROLES DE VIE 49b6800112

(image du blog de mamietitine : http://mamietitine.centerblog.net)

« Chacun de nous a une mission, chacun de nous est appelé à
changer le monde, à travailler pour une culture de la vie, une culture façonnée
par l’amour et le respect de la dignité de toute personne humaine. »
benoit-xvi-un-pape-unique-en-son-genre dans PAROLES DE VIE
Benoît XVI, le 18.09.2010
27 février, 2013 à 15 h 52 min | Commentaires (1) | Permalien


Larmes de femme

Larmes de femme dans petite douceur du coeur Calin-maternelle

Un petit garçon demanda à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répondit-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.

Sa mère le prit dans ses bras et lui dit :
- Et jamais tu ne comprendras.

 

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Plus tard le petit garçon demanda à son père :
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.

Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?

 

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Et Dieu répondit :
- Quand j’ai fait la femme, elle devait être spéciale.
J’ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ;
et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie,
et celle d’accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.

 

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« Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne,
et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d’un amour inconditionnel,
même quand ces derniers l’ont blessée durement.

« Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts
et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.

 

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« Tu vois mon fils, la beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte,
ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.
La beauté d’une femme réside dans ses yeux.
car c’est la porte d’entrée de son coeur – le lieu où réside l’amour.
Et c’est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.

« Toutes les femmes sont belles,
et nous devons les encourager à s’aimer telles qu’elles sont
et à avoir une juste estime d’elles-mêmes. »

24 février, 2013 à 13 h 46 min | Commentaires (2) | Permalien


Le sirop de la rue

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La boule à zéro
Et la morve au nez
On n’était pas beau
Mais on s’en foutait
Le mercurochrome
Sur nos genoux pointus
C’était nos diplômes
D’l'école de la rue
Le seul vrai enfer
Qu’on avait sur terre
Il était dans l’ciel
De nos pauvres marelles
On avait dix ans
Pis on ignorait
Qu’un jour on s’rait grands
Pis qu’on mourirait

 

gb0gy412 dans poésieL’eau des caniveaux
Nous f’sait des rivières
Où tous nos bateaux
Naviguaient pépère
Aujourd’hui les moineaux
Evitez d’tomber
Le nez dans l’ruisseau
La gueule sur l’pavé
A moins d’pas trop craindre
Les capotes usées
Et les vieilles seringues
Et les rats crevés

 

gb0gy412L’été sur les plages
C’tait l’débarquement
J’tais les GI’s
T’étais les Allemands
Pistolet à flèches
Carabine en bois
Et ma canne à pêche
C’tait un bazooka
Dans les vieux blockhaus
On f’sait notre Q.G.
C’était bien craignoss’
Qu’est-c’que ça chlinguait
Les filles v’naient jamais
Parc’qu’elles craignaient qu’on
Veuille les tripoter
Elles avaient raison

 

gb0gy412Quand tu ramassais
Un gros coquillage
Eh ben t’entendais
La mer, l’vent du large
Aujourd’hui t’as qu’une
Symphonie d’4×4
Qui vont dans les dunes
Comme a Ouarzazate
Le son des tocards
Réchappés hélas
Du Paris-Dakar
Du rallye d’l'Atlas

 

gb0gy412
On était inscrits
Pour tout l’moi d’juillet
A des cours de gym
Et au club Mickey
En c’temps là Disney
Faisait pas les poches
Ni les porte-monnaie
A des millions d’mioches
C’était l’Figaro
Qui organisaient
L’concours de châteaux
De sable que j’gagnais
Aujourd’hui c’journal
Est l’ami des enfants
Au Front National
Et au Vatican

 

gb0gy412Quand t’allais t’baquer
Tu t’buvais peinard
Un tasse d’eau salée
Pas une marée noire
Creusant l’sable blond
Tu ram’nais des coques
Pas des champignons
Ni des gonocoques
Dans les bouteilles vides
Y avait de messages
Pas des pesticides
D’un dernier naufrage
gb0gy412L’jour où j’mourirais
Puisque c’est écrit
Qu’après l’enfance c’est
Quasiment fini
Devant l’autr’charlot
J’espère arriver
La boule à zéro
Et la morve au nez
Du mercurochrome
Sur mes genoux pointus
Qu’y connaisse l’arôme
Du sirop d’la rueLui qu’a eu tant d’mômes
Et qui les a perdus

Renaud
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Soutenons Renaud Séchan
Soutenons Renaud Séchan

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22 février, 2013 à 17 h 15 min | Commentaires (0) | Permalien


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